Aujourd’hui, 25% des nouvelles contaminations constatées sont dues à cette variante, a indiqué dimanche le biostatisticien Geert Molenberghs (KU Leuven/UHasselt) au micro de la VRT.
Cette estimation a été calculée sur la base d’échantillons. "Tant au laboratoire de Louvain qu’à celui de Liège, on arrive à la même estimation", ajoute le professeur Molenberghs.Sciensano annonçait pourtant que la mutation du gène S, une des caractéristiques des variants britannique et sud-africain, n'avait été détectée lors de la deuxième semaine de janvier que dans 7,5% des échantillons analysés. Mais la situation semble avoir rapidement évolué: Emmanuel André twittait vendredi que la veille, 17% des échantillons analysés pour des patients testés positifs présentaient un résultat avec une mutation au niveau du gène S.